RNTP 2025 : IA conversationnelle, MaaS, décarbonation

Les signaux forts d’une filière en transformation avant le MOB’CO

Marketing Manager @BeTomorrow

Ally Mobility au RNTP 2025
Ally Mobility au RNTP 2025
Ally Mobility au RNTP 2025

Introduction

Les Rencontres nationales du transport public (RNTP) 2025, organisées du 4 au 6 novembre à Orléans, ont rassemblé plus de 8 000 participants et 230 exposants, confirmant une fois encore leur rôle de grand rendez-vous fédérateur du secteur.

À cinq mois des élections municipales, cette édition — placée sous le thème : « Municipales 2026 : mieux connecter les territoires » — a permis de mesurer l’état d’avancement d’une filière en pleine mutation : décarbonation, gouvernance territoriale, innovation numérique, et plus que jamais, intelligence artificielle au service de la mobilité.

Trois jours d’échanges structurants pour une filière en quête de cohérence

La première journée a été marquée par la conférence inaugurale, en présence de Philippe Tabarot, Louis Nègre et Thierry Mallet. L’approche mêlait vision politique, enjeux de terrain et prospective.
Un regard croisé entre Thierry Pech (Terra Nova) et Blanche Leridon (Institut Montaigne) a enrichi la réflexion sur la cohésion territoriale — question centrale pour les prochaines municipales.

L’après-midi a été rythmée par plusieurs temps forts :

  • une table ronde sur la qualité de vie au travail dans les transports publics,

  • une session consacrée aux travaux d’infrastructures,

  • une conférence de presse centrée sur le rôle stratégique du fret ferroviaire — rappelant la nécessité de rééquilibrer les flux et de renforcer la compétitivité du rail.

La deuxième journée a approfondi plusieurs thématiques clés :

  • financement du transport public et soutenabilité des investissements,

  • adaptation des offres aux besoins des seniors, un enjeu démographique majeur,

  • ouverture à la concurrence ferroviaire,

  • sûreté dans les transports,

  • cohésion territoriale,

  • outils numériques facilitant l’accès aux services.

Les échanges ont réuni des experts du GART, de l’UTPF, de France Silver Eco ou encore de la Cour des comptes.

Enfin, la troisième journée a mis en lumière deux sujets sensibles :

  • l’urgence de l’assurance, dans un contexte de raréfaction des offres et d’augmentation des risques,

  • la cohabitation dans l’espace public, question de plus en plus prégnante entre transports collectifs, mobilités actives et automobile.

Sécurité et respect : une campagne nationale contre les incivilités

Dans un climat marqué par une hausse des agressions envers les agents de transport, l’UTPF, Klesia et l’OPCO Mobilités ont présenté une campagne nationale d’ampleur, relayée par 45 réseaux.
Elle a été déployée :

  • sur les réseaux sociaux,

  • dans les gares et les métros,

  • sur l’arrière des bus de cinq grandes villes.

Un guide des bonnes pratiques a été dévoilé pour accompagner les réseaux dans la prévention et la prise en charge de ces situations — preuve que la sûreté reste un enjeu fondamental du service public.

La montée en puissance du MaaS : interopérabilité, IA et souveraineté des données

Au-delà des infrastructures, les RNTP 2025 ont confirmé une tendance forte : le MaaS n’est plus un projet, mais une infrastructure numérique stratégique pour les territoires.

Le MaaS de niveau 3 — intégrant calcul d’itinéraires multimodaux, achat de titres, services tiers et orchestration temps réel — devient un standard attendu par les voyageurs et les élus.
L’interopérabilité API-first s’impose, tout comme la nécessité de plateformes capables de :

  • agréger des données hétérogènes,

  • gérer des pics de charge,

  • offrir des services transactionnels fiables,

  • proposer un pilotage unifié des ressources.

Les enjeux abordés dans les tables rondes (seniors, cohésion territoriale, outils numériques d’accès aux mobilités) ont montré que le MaaS n’est pas seulement un outil technique :

c’est un levier d’inclusion sociale, un outil de cohérence territoriale et un vecteur de souveraineté numérique.

Dans ce contexte, certaines plateformes présentées par différents acteurs ont suscité une grande curiosité, dont celles développées par BeTomorrow, notamment :

  • TBM Mobilités à Bordeaux, avec plus de 212 millions de requêtes API mensuelles,

  • Ilevia à Lille, dont le déploiement progressif intègre données temps réel, application mobile, vélos, stationnement et services contextualisés.

Le passage remarqué de Philippe Tabarot, ministre des Transports sur le stand, clairement intéressé par ces approches intégrées, a illustré l’importance stratégique du MaaS dans les politiques publiques à venir.

Au-delà des infrastructures, les RNTP 2025 ont confirmé une tendance forte : le MaaS n’est plus un projet, mais une infrastructure numérique stratégique pour les territoires.

Le MaaS de niveau 3 — intégrant calcul d’itinéraires multimodaux, achat de titres, services tiers et orchestration temps réel — devient un standard attendu par les voyageurs et les élus.
L’interopérabilité API-first s’impose, tout comme la nécessité de plateformes capables de :

  • agréger des données hétérogènes,

  • gérer des pics de charge,

  • offrir des services transactionnels fiables,

  • proposer un pilotage unifié des ressources.

Les enjeux abordés dans les tables rondes (seniors, cohésion territoriale, outils numériques d’accès aux mobilités) ont montré que le MaaS n’est pas seulement un outil technique :

c’est un levier d’inclusion sociale, un outil de cohérence territoriale et un vecteur de souveraineté numérique.

Dans ce contexte, certaines plateformes présentées par différents acteurs ont suscité une grande curiosité, dont celles développées par BeTomorrow, notamment :

  • TBM Mobilités à Bordeaux, avec plus de 212 millions de requêtes API mensuelles,

  • Ilevia à Lille, dont le déploiement progressif intègre données temps réel, application mobile, vélos, stationnement et services contextualisés.

Le passage remarqué de Philippe Tabarot, ministre des Transports sur le stand, clairement intéressé par ces approches intégrées, a illustré l’importance stratégique du MaaS dans les politiques publiques à venir.

Au-delà des infrastructures, les RNTP 2025 ont confirmé une tendance forte : le MaaS n’est plus un projet, mais une infrastructure numérique stratégique pour les territoires.

Le MaaS de niveau 3 — intégrant calcul d’itinéraires multimodaux, achat de titres, services tiers et orchestration temps réel — devient un standard attendu par les voyageurs et les élus.
L’interopérabilité API-first s’impose, tout comme la nécessité de plateformes capables de :

  • agréger des données hétérogènes,

  • gérer des pics de charge,

  • offrir des services transactionnels fiables,

  • proposer un pilotage unifié des ressources.

Les enjeux abordés dans les tables rondes (seniors, cohésion territoriale, outils numériques d’accès aux mobilités) ont montré que le MaaS n’est pas seulement un outil technique :

c’est un levier d’inclusion sociale, un outil de cohérence territoriale et un vecteur de souveraineté numérique.

Dans ce contexte, certaines plateformes présentées par différents acteurs ont suscité une grande curiosité, dont celles développées par BeTomorrow, notamment :

  • TBM Mobilités à Bordeaux, avec plus de 212 millions de requêtes API mensuelles,

  • Ilevia à Lille, dont le déploiement progressif intègre données temps réel, application mobile, vélos, stationnement et services contextualisés.

Le passage remarqué de Philippe Tabarot, ministre des Transports sur le stand, clairement intéressé par ces approches intégrées, a illustré l’importance stratégique du MaaS dans les politiques publiques à venir.

IA conversationnelle : une nouvelle interface pour la mobilité

Si le MaaS représente aujourd’hui le cerveau du réseau, l’IA conversationnelle en devient progressivement la voix.

La tendance était palpable dans les allées : les réseaux cherchent des solutions capables de répondre 24/7, sur tous les canaux, et surtout dans un langage simple et humain.

Dans ce contexte, ALLY, la brique d’intelligence conversationnelle conçue par BeTomorrow, a attiré de nombreux échanges.
Non pour son aspect technologique en soi, mais pour ce qu’elle permet :

  • une relation plus inclusive,

  • une lecture unifiée de systèmes complexes,

  • un accès simplifié aux services.

Les visiteurs ont retenu une idée clé :

on ne demande plus au voyageur de maîtriser l’écosystème numérique — c’est l’écosystème qui s’adapte à lui.

Qu’il s’agisse d’un itinéraire spécifique, d’une question sur les titres, d’un besoin d’accessibilité ou d’une perturbation en cours, l’information devient intelligible et actionnable.

Si les plateformes MaaS constituent le système nerveux de la mobilité, orchestrant l’ensemble des flux, l’IA conversationnelle en est l’interprète universel, qui permet enfin au réseau de parler la langue de l’usager.L’ambition n’est plus seulement technologique : c’est une transformation culturelle de l’expérience voyageur.

Si le MaaS représente aujourd’hui le cerveau du réseau, l’IA conversationnelle en devient progressivement la voix.

La tendance était palpable dans les allées : les réseaux cherchent des solutions capables de répondre 24/7, sur tous les canaux, et surtout dans un langage simple et humain.

Dans ce contexte, ALLY, la brique d’intelligence conversationnelle conçue par BeTomorrow, a attiré de nombreux échanges.
Non pour son aspect technologique en soi, mais pour ce qu’elle permet :

  • une relation plus inclusive,

  • une lecture unifiée de systèmes complexes,

  • un accès simplifié aux services.

Les visiteurs ont retenu une idée clé :

on ne demande plus au voyageur de maîtriser l’écosystème numérique — c’est l’écosystème qui s’adapte à lui.

Qu’il s’agisse d’un itinéraire spécifique, d’une question sur les titres, d’un besoin d’accessibilité ou d’une perturbation en cours, l’information devient intelligible et actionnable.

Si les plateformes MaaS constituent le système nerveux de la mobilité, orchestrant l’ensemble des flux, l’IA conversationnelle en est l’interprète universel, qui permet enfin au réseau de parler la langue de l’usager.L’ambition n’est plus seulement technologique : c’est une transformation culturelle de l’expérience voyageur.

Si le MaaS représente aujourd’hui le cerveau du réseau, l’IA conversationnelle en devient progressivement la voix.

La tendance était palpable dans les allées : les réseaux cherchent des solutions capables de répondre 24/7, sur tous les canaux, et surtout dans un langage simple et humain.

Dans ce contexte, ALLY, la brique d’intelligence conversationnelle conçue par BeTomorrow, a attiré de nombreux échanges.
Non pour son aspect technologique en soi, mais pour ce qu’elle permet :

  • une relation plus inclusive,

  • une lecture unifiée de systèmes complexes,

  • un accès simplifié aux services.

Les visiteurs ont retenu une idée clé :

on ne demande plus au voyageur de maîtriser l’écosystème numérique — c’est l’écosystème qui s’adapte à lui.

Qu’il s’agisse d’un itinéraire spécifique, d’une question sur les titres, d’un besoin d’accessibilité ou d’une perturbation en cours, l’information devient intelligible et actionnable.

Si les plateformes MaaS constituent le système nerveux de la mobilité, orchestrant l’ensemble des flux, l’IA conversationnelle en est l’interprète universel, qui permet enfin au réseau de parler la langue de l’usager.L’ambition n’est plus seulement technologique : c’est une transformation culturelle de l’expérience voyageur.

2026 : gouvernance, compétences, cohésion territoriale

À l’approche des municipales, le GART prépare une boîte à outils Mobilités & Municipales 2026, destinée à éclairer les futurs programmes locaux :

  • simplification de l’accès aux services,

  • financement durable,

  • partage de la voirie,

  • connexion des territoires périurbains et ruraux.

La question des compétences est également critique : l’UTPF estime à 100 000 recrutements les besoins d’ici 2030.

Deux initiatives ont marqué le salon :

  • le Chapiteau immersif “Métiers en scène”,

  • le Café des Mobilités, véritable incubateur d’idées réunissant étudiants et professionnels.

À l’approche des municipales, le GART prépare une boîte à outils Mobilités & Municipales 2026, destinée à éclairer les futurs programmes locaux :

  • simplification de l’accès aux services,

  • financement durable,

  • partage de la voirie,

  • connexion des territoires périurbains et ruraux.

La question des compétences est également critique : l’UTPF estime à 100 000 recrutements les besoins d’ici 2030.

Deux initiatives ont marqué le salon :

  • le Chapiteau immersif “Métiers en scène”,

  • le Café des Mobilités, véritable incubateur d’idées réunissant étudiants et professionnels.

À l’approche des municipales, le GART prépare une boîte à outils Mobilités & Municipales 2026, destinée à éclairer les futurs programmes locaux :

  • simplification de l’accès aux services,

  • financement durable,

  • partage de la voirie,

  • connexion des territoires périurbains et ruraux.

La question des compétences est également critique : l’UTPF estime à 100 000 recrutements les besoins d’ici 2030.

Deux initiatives ont marqué le salon :

  • le Chapiteau immersif “Métiers en scène”,

  • le Café des Mobilités, véritable incubateur d’idées réunissant étudiants et professionnels.

Dernière édition sous ce nom : bienvenue à MOB’CO

2025 marque en effet la dernière année des RNTP.
Dès 2026, l’événement fusionne avec EuMo Expo (European Mobility Expo) pour devenir MOB’CO, nouveau rendez-vous consacré à la mobilité durable, organisé par le GART et l’UTPF.
Rendez-vous du 9 au 11 juin 2026 à Paris Porte de Versailles pour la première édition !

2025 marque en effet la dernière année des RNTP.
Dès 2026, l’événement fusionne avec EuMo Expo (European Mobility Expo) pour devenir MOB’CO, nouveau rendez-vous consacré à la mobilité durable, organisé par le GART et l’UTPF.
Rendez-vous du 9 au 11 juin 2026 à Paris Porte de Versailles pour la première édition !

2025 marque en effet la dernière année des RNTP.
Dès 2026, l’événement fusionne avec EuMo Expo (European Mobility Expo) pour devenir MOB’CO, nouveau rendez-vous consacré à la mobilité durable, organisé par le GART et l’UTPF.
Rendez-vous du 9 au 11 juin 2026 à Paris Porte de Versailles pour la première édition !